La journaliste: - Vous ne prétendez tout de même pas que votre livre est un page-turner?Le page-turner demande de la frénésie, des pages lues rapidement, sans se poser de question, du plaisir; le page-turner mène le lecteur à la nuit blanche.
L'auteure: - Du moment que le début appelle la fin, et que la fin peut renvoyer au milieu et qu'à partir du milieu on puisse choisir de retourner au début ou de revisiter la fin... Il me semble que toutes les lectures possibles exigent de tourner, à un moment ou à un autre, les pages. Je suis prête à parier qu'on tourne plus de pages dans mon petit volume de 24 pages que dans ce pavé que vous avez là qui en compte 670.
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