On s'accommode bien de ce masque. On ne le sent plus quand on sort; avec cette couche supplémentaire, on a l'impression d'être protégés. Comme si les particules venaient mourir contre, impuissantes. Parfois, on préfère le garder dans l'appartement; il ne gêne pas la communication. Et le soir lorsqu'on se déshabille l'un l'autre, le masque est le dernier vêtement qu'on enlève. Quand les particules griffent les vitres, redécouvrir, chaque nuit, la bouche de l'autre.
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