lundi 25 janvier 2016

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Paradoxalement, le tennis mourra au moment même où il atteindra sa perfection, c'est-à-dire lors d'un match où les deux joueurs, ne pouvant se départager, bataillant des semaines durant, retarderont les autres rencontres, les autres tournois et paralyseront le calendrier. On attendra indéfiniment une balle de match, qui de toute manière n'aurait jamais de conclusion.

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